La mission délicate

Ayubi rentra chez elle pour réfléchir car peu de temps avant, elle avait rencontré un simili for beau et surtout très puissant pour ce qu’elle avait put constater. Allant dans sa cuisine, elle remarqua un mot sur sa petite table et s’installa pour le lire.

« Ma chère Ayubi,

Ta maman et moi partons en voyage pour plus de deux mois et donc tu devrais subsister à tes besoins toute seule. Nous te laissons un équivalant de deux milles munis à consommer avec modération. N’oublie pas que le loyer et l’électricité avec tout le reste, va te coûter environ 500 munis par mois ce qui te laisse 1000 munis pour toi. Nous t’embrassons très fort et t’aimons beaucoup.

Maman et Papa »

Ayubi écrasa la lettre et la jeta à la poubelle. Elle lisait cette lettre à chaque fois qu’elle rentrait et ceux depuis plus d’un an. La vérité étant que ces parents venaient de s’enfuire pour que les hommes de mains de certaine personne ne vienne pas les tuer car ils vivaient sous des dettes énormes et Ayubi l’avait découvert lorsque des personnes étaient venues la tabasser et la laisser presque pour morte. Sachant qu’elle avait encor énormément de dette impayée, elle attrapa sa cape et partit de chez elle de nouveau.
Ayubi était aller voir une famille très puissante. Elle arriva donc dans le domaine de cette famille qui était fort grande et surtout très belle. On voyait bien que des similis vivaient ici et qu’aucun d’entre eux ne se salissait les mains car sinon la nature qui se trouvait dans le domaine n’aurait jamais été aussi splendide. Elle continua à avancer escorté par un maître d’hôtel qui lui fit signe de s’arrêter devant la porte pour qu’il puisse l’annoncer.

* Je déteste les mondanités *

Le maître d’hôtel réapparût et laissant Ayubi entrer. Lorsqu’elle mit un pied dans la demeure, Ayubi fut très surprise par son espace et sa facilité de décor. Elle s’avança au centre de la salle et s’installa sur un cousin devant une table ou le maître des lieux déjeunait. Ayubi s’installa et attendit que le maître de maison ait fini son repas. Lorsque ce dernier posa son bol de riz, il se tourna vers Ayubi et lui dit :

- Ma très chère Ayubi, j’ai une mission pour toi. Comme tu le savais, ma famille est passé depuis peu la plus puissante des familles ce qui provoque quelque problème pour certain. Je voulais te demander d’assassiner un très grand chef de la vermine, comme je les appelle car il a osé s’en prendre à ma fille. Elle fut violée par cet homme et pour laver son honneur, il faut que tu le tue. Accepte-tu cette mission qui pour notre famille est de la plus haute importance ? Elle sera bien sur payée 10000 munis si en plus, tu tue son sous-chef.
- Je ne pourrais pas tuer le sous-chef aussi facilement et vous devez en choisir un seul ! Peu m’importe que vous me payez 10000 ou 5000 munis, il y a seulement une seule personne à chaque fois.
- Je vois, alors tu tueras le chef ! C’est lui qui a osé salir le nom de ma famille. Je te donnerais 3000 munis, cela te va ?
- 5000 car j’ai un élément qui m’empêche de faire ce boulot correctement.
- Je vois et je te comprends. Alors je te donnerais 5000 munis.
- Cela me convient parfaitement !
- Bien alors trinquons à notre contrat !- Je n’ai pas le temps, je veux me mettre au travaille sur-le-champ !
- Et bien alors… à une prochaine fois et merci encor !
- De rien !

Ayubi détestait ce genre de mission mais malheureusement, elle avait besoin d’argent et ces 5 000 munis allaient être encor mince comparer à la dette de sa famille. Elle ne savait pas comment, mais sa famille avait réussit à s’endetter d’une manière tellement importante, qu’Ayubi devait faire des missions supplémentaires comme celle-ci depuis déjà plus de cinq ans et il y avait toujours des dettes. Sortant de cette demeure le plus vite possible, elle se dirigea en premier à sa maison. Sortant de son placard des vêtements très aguicheur, Ayubi commença à s’habiller. Elle se vêtis d’un haut noir qui lui prenait la poitrine uniquement telle un soutien gorge et finissait en petite bandelette le long de son ventre. Elle enfila aussi un pantalon en cuir très sexy, qui rendait ses formes encor plus attirantes car le pantalon moulaient énormément. Enfin habillée, elle partit vers la fête que ce fameux chef adorait fréquenter car ils pouvaient y trouver de très belles filles qui n’attendaient que lui. Toutes les filles étaient attirées par ce mec et Ayubi ne voyait pas en quoi, mais bon, elle devait faire son boulot.

Enfin arrivée à la fête, tout le monde se tournèrent vers Ayubi. Ce qui était sur, c’était qu’elle était la fille la plus sexy de cette fête. Elle était jeune, bien foutue, avec des formes là où il le fallait et surtout, elle avait un visage d’ange ou ses yeux verts ressortaient comme jamais. Des hommes commencèrent à s’approcher d’Ayubi pour la draguer et affin d’attirer l’attention du chef, il fallait bien commencer par quelque part. Le DJ avait mit une musique plutôt qui bougeait bien pour pouvoir voir Ayubi en action et ce n’était pas pour le décevoir. Elle commença à bouger telle une lionne déchaînée et bougeait son corps avec autant de fluidité qu’un serpent. Les mecs adoraient cette façon de danser car Ayubi surtout se frottait à eut pour pouvoir attirer l’attention du chef. Affin d’être vue par ce dernier, Ayubi s’approcha d’un lampadaire et en sautant, elle attrapa la barre en collant son corps contre cette barre et se mettant la tête vers le bas. Elle entoura la barre de ses jambes et se laissa glisser délicatement. Arrivée non loin du sol, elle fit descendre délicatement l’une de ses jambes en la gardant bien tendu. Elle se plaça de nouveau sur la piste de danse et se déchaîna encor plus. Le chef commença alors à s’intéresser de près, voir même de très près, à Ayubi. Il s’avança sur la piste et Ayubi commença à s’avancer vers lui en le regardant de manière provocatrice. Arrivée non loin de lui, elle colla son corps contre le sien et restant dos à lui, elle commença à faire des mouvements de bassin en descendant le long de son corps tout en se frottant contre lui. Pour se relever, elle fit de même mais se tourna ensuite pour avoir ses lèvres non loin de celle du chef. Faisant semblant de montrer une certaine excitation, le chef prit Ayubi par la taille et commença à passer ses mains du dos d’Ayubi, vers le bas. Arrivée sur une certaine partit, il continua à danser avec Ayubi toujours aussi collé, serré, en plaquant bien son bassin contre le sien.

Après plusieurs musique, le chef prit Ayubi par la main et passa par l’arrière de la scène. Arrivée dans la petite ruelle qui longeait la scène, le chef plaqua alors Ayubi contre le mur et commença à l’embrasser dans le cou et à faire parcourir ses mains sur tout son corps. Le visage d’Ayubi marquait bien un dégoût certain pour cela. Lorsque fut le moment, Ayubi fit apparaître sa dague de justice et passa derrière le chef en s’appuyant contre le mur. Bien placé, elle trancha la gorge du chef mais manque de pot, le sous-chef arriva.

Voyant ce qu’Ayubi venait de faire, il lui attrapa les poignets en un rien de temps et les plaça derrière son dos. Il la plaqua ensuite contre le mur mais Ayubi en avait profité pour faire disparaître sa dague. La tenant bien fermement, le sous-chef se colla contre Ayubi et lui murmura à l’oreille :

- Dommage pour toi mais aujourd’hui, je suis passé de grade grâce à toi. Je suppose que la famille pensait que c’était mon chef qui avait violé leur fille, mais en réalité, c’était moi.

Ayubi sachant cela, commença à s’inquiéter sérieusement pour son cas. La tenant toujours, il la décolla et plaça un couteau sous sa gorge et l’obligea à marcher jusqu’à la sortit de la ville. Arrivée pas loin de la fête mais couverte de tout bruit, il commença à poser ses mains sur le corps d’Ayubi et celle-ci ne pouvaient rien faire car le nouveau chef en avait profité pour lui faire passer un collier qui l’empêchait toute utilisation de ses pouvoirs et ainsi, il savait qu’Ayubi ne pourrait se défendre, surtout avec les mains liées. L’emmenant au plus profond du lieu, il poussa Ayubi qui trébucha et tomba sur e sol mouillé. Voyant Ayubi au sol, il lui dit :

- Et bien si c’est l’endroit que tu as choisi ! J’accepte ! Il est bien loin et en plus, très discret.
- Va te faire…

Il lui mit la main devant la bouche, glissa le couteau sous sa gorge et lui dit :

- Pas de grossièreté s’il te plait ! Sinon je vais devoir me fâcher tout rouge.

Il enleva sa main et gifla Ayubi qui se cogna la tête contre le mur d’à coter. Le sous-chef maintenant chef commença alors à enlever sa ceinture.

Ayubi essaya de toutes ses forces d’arracher les liens qui lui fixaient les poignets. Elle avait beau s débattre, l’homme commença à être de plus en plus explicite à ce qu’il allait faire. Ayubi se débattait de plus en plus mais les liens étaient très serrés et cela commença même à lui brûler les poignets tellement elle essayait. Pendant ce temps, un portail apparût et un homme en cape noir en sortit. Le sous-chef voulu l’attaquer mais ce dernier leva la main et envoya une boule de feu. Ayubi commença à s’inquiéter et à penser que c’était un sans-cœur mais lorsqu’il enleva sa capuche, elle remarqua avec soulagement qu’il s’agissait d’Axel. Ayubi marqua alors un visage de bonheur en le voyant et lui fit un sourire de soulagement et de joie. Axel disparut à une vitesse folle pour apparaître derrière le nouveau chef. Il commença à parler de l’organisation 13, une organisation dont Ayubi ne connaissait strictement rien. Il disparut de nouveau pour apparaître à ses côtés.

- Je t’en remercie Axel et désolé de t’embêter avec cela…

Ayubi avait complètement mit de coter ses manières de parler pour faire place à un langage plus familier. Lorsque l’homme sortit son épée et courut pour le planter dans le cœur d’Axel, Ayubi eut un choque car rien que le fait qu’Axel puisse mourir la terrorisait, sans vraiment savoir pourquoi. Elle voyait l’épée planter en plein dans la poitrine d’Axel, elle savait qu’il n’en avait pas mais cela lui faisait mal, comme si elle ressentait cette douleur. Ayubi voyait maintenant les deux hommes se livrer un duels même si normalement, Axel allait en être l’heureux vainqueur. Ayubi était toujours à terre et se releva avec difficulté. Elle fit apparaître de nouveau sa dague de vie et coupa ses liens affins de libérer ses mains et enlever le collier. Elle regarda ce combat mais sachant que sa mission était de tuer le violeur de la fille, Ayubi serra sa dague et en un éclair, elle apparût derrière l’homme et lui trancha la gorge sans exprimer aucun sentiment. Ayubi regarda Axel avec du sang sur le visage. Elle passa sa manche sur son visage et regarda Axel.

- Désolé mais j’ai certaine mission délicate pour des problèmes familiaux. Mes parents ont des dettes comme jamais et je dois donc faire certaine mission même si elles me déplaisent.

Ayubi partit chercher son sac et avec toujours ses vêtements très aguicheurs.

Ayubi attrapa une plante dans son sac qu’elle plaça sur une entaille à son bras que le sous-chef lui avait fait. Elle regarda ensuite ses poignets en sang car elle n’avait pas arrêté de se débattre pour arracher ses liens. Cela marquait les poignets d’Ayubi d’une bande rouge ou par moment, un liquide rougeâtre s’écoulait. Elle prit une autre plante sur le sol et entoura ses poignets dedans. Lorsqu’elle se retourna, elle vit qu’Axel se trouvait à côté d’elle et cela fit rougir Ayubi sans savoir pourquoi.

- Pardonnez-moi j’ai osé vous tutoyer sans votre accord… ma faute est impardonnable, je m’en excuse !

Ayubi baissa la tête et se demanda pourquoi elle venait de le tutoyer, lui qu’elle ne connaissait pas, lui qui venait tout de même de la sauver. Elle garda sa tête baissée et dit :

- Je suis désolé mais je ne puis attendre votre accord et veuillez me pardonner mais je vais TE tutoyer…

Ayubi sourit à Axel et s’approcha un peu de lui. Elle le regarda dans les yeux et sans aucune raison valable, elle le prit dans ses bras et l’enlaça. Le serrant un peu contre elle délicatement, elle ne réussissait pas à le lâcher et voulait rester comme cela tout le temps.

* Qu’est-ce qui m’arrive ? Je ne suis pas comme cela d’habitude… quel est ce sentiment que je ressens ? *

Ayubi regarda Axel droit dans les yeux et l’embrassa. Remarquant ce qu’elle venait de faire, elle le lâcha et lui tourna le dos en lui disant :

- C’est pour te remercier de m’avoir sauvé !

Elle n’en croyait pas un mot mais ne voulait pas qu’Axel la prenne pour une folle, même si c’était sûrement déjà fait.

Ayubi remarqua qu’Axel avait été surprit par sa réaction et Ayubi lui tournait encor le dos. Ne sachant pas trop pourquoi, Ayubi voulait retenir Axel, elle ne voulait pas qu’il parte. Le voyant ouvrir un portail et commencer à s’avancer vers ce dernier, Ayubi se retourna et attrapa Axel par le bras, l’empêchant de partir. Elle le regarda droit dans les yeux et lui dit :

- Je ne veux pas que tu partes ! Reste s’il te plait !

Après ses paroles sorties de sa bouche sans qu’elle puisse les retenir, Ayubi lâcha Axel et baissa la tête pour ne pas lui montrer qu’elle rougissait même si c’était flagrant.

Ayubi releva sa tête et vit Axel la regarder de manière très surprise car elle venait de le retenir et en plus, de lui dire une chose particulièrement personnelle. Elle l’entendit prononcer son nom et était prêt pour entendre la suite mais une armée de sans-cœur fit son apparition. Axel lui demanda de rester en arrière mais elle n’allait pas l’écouter. Il sortit oblivion et Ayubi fit apparaître tendre promesse. Voyant Axel foncer dans le tas de sans-cœur, Ayubi ne fit pas pareille. Elle analysa la situation et ensuite se lança dans le tas. Elle était d’une rapidité et d’une force impressionnante pour une simili.

- Je ne reste jamais en arrière Axel !

Ayubi continua à aider Axel en tuant les sans-cœurs.

Ayubi était tout heureuse de se battre au coter d’Axel sans savoir pourquoi. Ce combat l’amusait car chacun d’entre eux faisait attention à l’autre et défendait l’autre par moment. Cela faisait plus d’une heure que Ayubi et Axel n’arrêtèrent pas de se battre et les sans-cœurs commencèrent à partir. Lorsque se fut fini, Ayubi fit un long et fort soupire mais Axel avait un regarder dans le vide. Elle commença à s’avancer vers lui mais ce dernier ouvrit un portail et commença à avancer en disant qu’on l’appelait. Ayubi n’était pas d’accord et pour le montrer, elle courut vers Axel car elle se trouvait assez loin et juste avant qu’il ne rentre dans le portail, elle lui sauta dessus le faisant tomber sur le sol et se retrouvant alors sous lui. Axel se trouvait sur elle et Ayubi venait de passer ses bras autour de son cou pour qu’il ne puisse partir. Elle le regarda droit dans les yeux et lui dit :

- Je refuse que tu partes ! Tu n’as pas le droit de partir comme ça !

en tomba Axel se pris les pied dans sa cap(coneri powa!!!!à) et passa le portail avec Ayubi.
(suite=> illusiopolis)

"je pense que je devrai les suivrent"avec un sourire .